Là -haut ferraille une bataillé
Quelque querelle canaille ?
Mais non noble combat
Où Tancrède met à trépas
Par erreur la femme aimée
Qui pour le duper
Était en homme déguisée
Et lui de son épée l’a transpercée,
Le voilà consterné par ce malheur,
Inconsolable désespéré il pleure
Celle qui aurait fait son bonheur,
Qui égarée dans un religieux leurre
D’une cruelle équivoque
A provoqué cette funeste réciproque.
Clorinde au choc des armes
Y perd son âme !
Mais au Dieu chrétien maintenant consacrée,
Dans son dernier souffle, Tancrède est pardonné.
JCTannenbaum directeur de la station d’art météorologique