Dans le ciel assombri s’empressent les Collyres
À mouiller les yeux de leur élixir pour les guérir,
Dans la tourmente toute vision est brouillée
Et par ces désordres aveuglés,
Errer à tâtons dans un monde occulté
Dans son clair-obscur mal éclairé,
Où toute lumière est vaine tout azur est fané,
Quand l’œil par hémorragie est inondé,
Alors les Collyres goutte à goutte interviennent
Pour que la lumière revienne,
Chibro Cardon et Mydriaticum êtres-anges
Des chimies le secours étrange.
J.C Tannenbaum directeur de la station d’art météorologique.
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