Sansonnets.
Neuilly-en-Thelle, Oise.
Au temps de cet Avril limpide et léger
A les étourdir comme des sansonnets,
Ils se laissent porter au vent follet
Par-dessus les arbrisseaux aux fleurs argentées,
Dans les lumières aux virginales pâleurs,
Quand tout semble être neuf comme en apesanteur,
Où les contours des choses comme une esquisse,
Dessinent de l’été en devenir les prémices,
Dans ce moment encore rien de définitif,
Avant que ne se conjugue celui, à l’infinitif
Toujours, au fugace séjour...
Ah, les beaux jours!
J.C Tannenbaum, directeur de la station d’art météorologique.
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