Juillet, aux prémices de l'été, alors que, à jamais l'été ne se décline qu'au passé ; de ce qui a été.
L'été, un temps énigmatique au sourire sibyllin, toujours conjugué au passé composé.
Une illusion au participe passé de l'être, dans l'été d'un rêve radieux... mais radieux, toujours avec un et sous x.
J.C. Tannenbaum, directeur de la station d'art météorologique de Strasbourg.
Déjà qu'il n'est pas là, plus tard il aura quand même été (,) l'été.
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oui oui très bon commentaire en effet
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