mercredi 5 mai 2010



La Fête des Oeillets.


Maïa des petites fleurs de Mai, à défaut de muguets se saisit d'un tors d'oeillets qu'elle brandit dans le ciel des douceurs mariales, pour célébrer ce moi tout à toi de tendres joliesses convenues en cette saison de grande émollience, mais très contredite en ces jours Winter, au tout morose de Mai aux consternantes perfidies des esprits malins des désillusions.


J.C. Tannenbaum, directeur de la station d'art météorologique.



1 commentaire:

  1. ça va c'est pas mal...très poètique...et il y a de l'esprit...de la mélancholie et de l'onirisme...c'est sympa...très personnel...

    café Brandt...

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